SHAFAQNA– Le journaliste Ismaïl al-Ghoul et son cameraman Rami al-Refee ont été assassinés lâchement, cruellement, atrocement, en violation du droit humanitaire international, alors qu’une frappe israélienne s’est abattue violemment sur leur véhicule ce mercredi 31 juillet, décapitant le premier d’entre eux.
Les noms de ces deux correspondants aguerris d’Al Jazeera, considérés comme les cibles d’un nouveau crime de guerre effroyable marqué par l’empreinte sanglante d’Israël, s’ajoutent à la liste des 165 journalistes palestiniens tombés au front et en martyrs.
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Quelques heures plus tard, Ismaïl Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, a subi le même sort tragique à Téhéran, alors que deux reporters d’Al-Jazeera étaient en train de tourner un reportage près de sa maison en ruines, à l’ouest de Gaza, ont été foudroyés par la bombe qui a pulvérisé leur véhicule.
Dès le début, le Hamas a immédiatement qualifié la frappe de mercredi de « crime odieux », affirmant dans un communiqué que son objectif était de « terroriser et faire taire » les journalistes palestiniens, qui font état du génocide en cours contre notre peuple dans la bande de Gaza depuis près de dix mois.
Source: Oumma