SHAFAQNA – Les femmes présentées au verset 34 de la sourate Nisa, qui ont la foi, qui sont patientes et humbles devant Dieu, soumises à leur mari, qui font l’aumône, respectent le jeûne, sont vertueuses et se souviennent de Dieu, sont des femmes appréciables selon le Coran.
إِنَّ الْمُسْلِمِينَ وَالْمُسْلِمَاتِ وَالْمُؤْمِنِينَ وَالْمُؤْمِنَاتِ وَالْقَانِتِينَ وَالْقَانِتَاتِ وَالصَّادِقِينَ وَالصَّادِقَاتِ وَالصَّابِرِينَ وَالصَّابِرَاتِ وَالْخَاشِعِينَ وَالْخَاشِعَاتِ وَالْمُتَصَدِّقِينَ وَالْمُتَصَدِّقَاتِ وَالصَّائِمِينَ وَالصَّائِمَاتِ وَالْحَافِظِينَ فُرُوجَهُمْ وَالْحَافِظَاتِ وَالذَّاكِرِينَ اللَّهَ كَثِيرًا وَالذَّاكِرَاتِ أَعَدَّ اللَّهُ لَهُمْ مَغْفِرَةً وَأَجْرًا عَظِيمًا
« Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d’aumône, jeûnants et jeûnantes, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs souvent d’Allah et invocatrices, Allah a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense » (Coran 33 :35)
Hazrat Zahra (sa) nommée aussi Kauthar, était dotée de nombreuses bénédictions, du point de vue physique, intellectuel et spirituel, et a eu de nombreux enfants, et d’elle, sont nées de nombreuses personnalités spirituelles et scientifiques.
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Dans les hadiths, une série de droits ont été énoncés pour les femmes comme le droit de consommer de la viande pendant dix jours par mois, d’avoir une bonne nourriture et des fruits de saison, de bons repas lors des fêtes, et en ce qui concerne les vêtements, quatre vêtements adaptés aux différentes saisons.
Dans le traité de droit de l’Imam Sajjad (as), beaucoup de choses ont été dites dans ce domaine, notamment qu’un homme n’a pas le droit d’insulter ou de battre sa femme, et doit lui pardonner et l’honorer, si elle fait une erreur.
Il est également mentionné dans un Hadith, que le Prophète a dit : « Gabriel m’a beaucoup ordonné sur les femmes, au point que j’ai pensé qu’il ne fallait même pas manifester le moindre signe d’insatisfaction, comme cela a été ordonné à propos des parents, qu’il ne fallait pas froncer les sourcils et ne rien leur imposer. La bonté envers la femme est un devoir et si vous ne pouvez pas réaliser son souhait, faites-lui une promesse jusqu’à ce que vous puissiez le faire ».
De nombreux divorces sont causés par le fait que l’homme ne sait pas comment donner de l’espoir à sa femme, quant à l’avenir, et utilise un langage grossier et décourageant.
Extrait d’un discours de Mohammad Ali Rezaei Esfahani
Source: IQNA