SHAFAQNA– En Inde, l’anti-islamisme s’est propagé de manière violente, avec des dirigeants hindous qui appellent ouvertement à des massacres et à la violence contre les musulmans.
Les musulmans font l’expérience de menaces, de harcèlement et de violence, en particulier dans les États dirigés par le parti Bharatiya Janata, soutenu par le RSS qui soutient la suprématie hindoue, et leurs maisons et lieux de culte sont régulièrement endommagés.
Des experts ont mis en garde contre les discriminations et les attaques contre les musulmans en Inde ces dernières années sous le gouvernement de Narendra Modi, en demandant à la communauté internationale de prendre des mesures urgentes pour protéger les musulmans. Depuis que Modi est arrivé au pouvoir, les attaques contre les musulmans ont augmenté. Les militants de l’Hindutva continuent de persécuter la communauté musulmane indienne sans être poursuivis, et certains dirigeants du BJP utilisent des discours haineux de certains dirigeants du BJP. Jiraj Singh et Kapil Mishra incitent les militants de l’Hindutva à lancer des attaques contre les musulmans.
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Selon les analystes, les émeutes de Delhi en 2020, qui ont entraîné la mort de plus de 50 musulmans, et la démolition récente de maisons musulmanes à Kharguni, dans l’État de Madhya Pradesh, sont des exemples remarquables de cette escalade de la violence. Les experts soulignent le risque de génocide imminent des musulmans en Inde, qui représente un défi majeur pour la communauté mondiale, et ont incité la communauté internationale, y compris les Nations Unies, à prendre des mesures immédiates pour mettre fin aux crimes haineux envers les musulmans en Inde.
La discrimination envers les musulmans a été intensifiée par la loi sur la citoyenneté et l’enregistrement national, ce qui a conduit des millions de musulmans à être privés du droit de vote. Selon un analyste politique des affaires indiennes, la situation est alarmante et le monde ne peut ignorer les crimes commis contre les musulmans en Inde.
Source: Iqna