SHAFAQNA – Imam al-Ridha (a.s.), chaque fois qu’il assistait à un repas et voulait manger, il demandait aux autres de placer un grand plateau à côté de la nourriture, puis il mettait sur le plateau le meilleur de chaque nourriture disponible, et il demandait prendre le plateau aux nécessiteux.
Puis il récitait les versets 11-16 de la sourate al-Balad:
فَلَا اقْتَحَمَ الْعَقَبَةَ ﴿١١﴾ وَمَا أَدْرَاكَ مَا الْعَقَبَةُ ﴿١٢﴾ فَكُّ رَقَبَةٍ ﴿١٣﴾ أَوْ إِطْعَامٌ فِي يَوْمٍ ذِي مَسْغَبَةٍ ﴿١٤﴾ يَتِيمًا ذَا مَقْرَبَةٍ ﴿١٥﴾ أَوْ مِسْكِينًا ذَا مَتْرَبَةٍ ﴿١٦﴾
“Or, il ne s’engage pas dans la voie difficile! (11) Et qui te dira ce qu’est la voie difficile? (12) C’est délier un joug [affranchir un esclave], (13) ou nourrir, en un jour de famine, (14) un orphelin proche parent (15) ou un pauvre dans le dénuement (16).”
Puis l’imam al-Ridha a ajouté: “Allah le Tout-Puissant était conscient que libérer un esclave ne serait pas possible pour tout le monde, par conséquent, il a ouvert une autre voie (comme nourrir les pauvres) vers le paradis.”
Source : “al-Muntaha al-Amal” par Sheikh Abbas Qumi, vol. 2, p. 342
Traduction : Shafaqna